' syvie s'en va par nam kim [ phạm duy khiêm] -- source; Thephong' s poems blog
Chủ Nhật, 9 tháng 10, 2016
'sylvie s'en va'
par
nam kim
nam kim
nam kim [ i.e pham duy khiêm ]
was a Vietnamese writer, academic ns South Vietnam
ambassador in France. He was the son of the writer
Phạm duy Tốn, and brother of song writer Phạm duy
Nhượng] and songwriter Phạm Duy. wikipedia
nam kim [ i.e pham duy khiêm ]
was a Vietnamese writer, academic ns South Vietnam
ambassador in France. He was the son of the writer
Phạm duy Tốn, and brother of song writer Phạm duy
Nhượng] and songwriter Phạm Duy. wikipedia
born: April 24, 1908 , Hanoi
died: Dec. 2, 1974 Montreuil-le-Henri, France
parents: Phạm duy Tốn
education: University of Toulouse
books : Legends from Serene Lands:
(classical Vietnamese stories)
sibblings: songwriter Phạm duy Nhượng+ Phạm Duy
grand parents: Phạm duy Đạt + Nguyễn thị Huệ.
(...)
Sylvie était née dans la deuxième quinzaine d' octobre.
J'avais naturellement compté sur une rencontre le jour de son anniversaire; mais à ma grande déception, elle ne sut se libérer.
Le lendemain en revanche elle me rendit visite à la Maison, une visite dont certains détails et l'atmosphère unique à sa mémoire, sans que j'aie besoin de l'aide de mon journal.
C'était par un de ces après-midi d'automne où le jour tombe vite.
Dans les fauteuils profonds, à la lueur de la petite lampe ...
À propos de ses vingt et une ans, je lui dis commenr j'ai pense à cet anniversaire, depuis longtemps. Au cours de mon voyage en Allemagne, tente par tel objet, j'Ai voulu 'd'abord l'acheter dans cette intention, puis il ne m'a semble convenir tout à fait. À Paris je na'i rien trouvé de satisfaisant non plus, dans les limites de ma bourse.
J'avais aussi prévu, dès nos premiers temps:" Ce jour-là nous nous aimerons." Et j'ai alors imaginé: " Je l''aimerai mieux que jamais."
Mais je me suis dit ensuite; Est-ce que je ne cherche pas chaque jour à envelopper des plus profondes caresses? Pourquoi remettre à plus trad, si importante que puisse être la date choisie?
En fin de compte, j'ai songé à un joli mouchoir que j'avais rapporté de Suisse l'an dernier dans le dessein de l'offrir, sans savoir à qui. D'ordinaire un cadeau, c'st un objet qu'on vient d'acquérir, et l'on s'en sépare vite, tandis que ce mouchoir m'a plu il ya a un an, à Montreux ou à Interlaken, je l'ai rapporté dans mon sac, et je l'ai gardé depuis lors. Le voici ...
Pendant que je lui parle, elle me regarde de tous ses yeux, de toute son âme; avant que j'aie fini, elle me prend la main:
- Nam, je t'aime, c'est toi que j'aime.
De notre conversation, je n'ai noté que ce qui précède. Et c'est bien l'essentiel en effet. Mais nos heures furent plus longues, plus mélangées aussi, que mon journal ne le laisse croire. Plusieurs de nos letres allaient y faire allusion.
Sa visite eut lieu un mardi; nous devions nous revoir le samedi suivant, mais ce fut le lundi seulement que je recu de ses nouvelle, apres avoir fini par jeter un cri d'alarme.
Elle était soufrante, et m'écrivait de son lit.
J'ai mis le mouchoir sous l'oreiller et je l'ai pensé à vous. Je me suis répète tout ce que vous disiez l'autre soir. Tout à l'heure Solange sera là. Je lui demanderai:" Que penses -tu, toi, d'un jeune homme qui ..." Elle répondra, parce qu'elle ne vous connai^t pas et parce qu'elle m'aime: " C'est un fou." Patiemment je lui expliquerai qu'il ne voulait pas d'un amour si spontanement offert et qui lui semblait trop facile à accepter, trop fragile aussi. Et je seari Nam, une fois de plus.
- Mais pourquoi raconter tout cela à Solange? direz vous.
Nam, tout simplement parce qu'après l'avoir persuadée, j'en arriverai -- peut être -- à croire que je le suis moi-même.
(Touchant et adorable, vraiment. Mais tous mes problèmes étaient-ils résolus et mes voeux combles pour autant?)
Ah ! comme c'est long! J'aurais tellemnt aime vous rencontrer aujourd'hui, Nam, avoir au moins une lettre. Pouquoi n'-avez vous pas écrit? Pourquoi est-ce moi qui, presque naturellemnt semble-t-il, dois le faire la première?
Mai non, si j'avais pu, j'aurai écrit. Oubliez ce que vous venez de lire. Aimez moi.
(En se plaignant, elle ne tenait pas compte de mon 'cri d'alarme', qui n'etait pas une vraie lettre, mais interrogeait seulement son propre silence.)
Lundi matin
Il faut vous expliquer, Sylvie, pouquoi je ne vous avais pas écrit plus tôt: il était entendu, lors de votre visite, que j'allais recevoir des précisions de votre part sur la rencontre promise pour samedi. Et puis, j'avais été tellemnt bavard qu'il convenait de me taire, pour guetter votre réponse à tout ce flot. Enfin, je vous avais priée de m'envoyer une lettre par jour 'pour voir'. Vous avez dit non, mais je ne me suis pas découragé, j'espérais quand même. J'espérais d'autant plus qu'après le refus, il m'avait semble que certains printemps renaisaient, tandis que je regardais votre visage dans la nuit. (La lampe était derrière vous.) Je sentais votre âme descendre sur votre main, cherchant ma main. Et me voilà -- rêveur incorrigible -- à m'imaginer: elle va méecrire! Je le croyais, j'en étais su^r; j'attendais donc.
Portée immédiatement à la poste, ma réponse l'atteignit le soir même.
Lundi soir
Je dormais, Nam, quand on a pose votre lettre à côté du lit. En m'éveillant, je me suis amusée à faire patienter ma joie: " Je la lirai dans trois minutes, pas avant!". Je savias bien qu'elle serait tendre cette lettre, qu'elle viendrait d'un Nam qui veut être aimé. Ah! que c'est doux de ne plus éprouver la crainte de ces déceptions qui assom-brissent tellemnt les jours les plus ensoleillés! Comme je vous en veux, Nam, d'avoir si souvent trompe mes espérances, " pour voir'.
L'autre soir, certaines de vos paroles m'ont encore fait mal. Souvenez-vous ... Je ne nous ai jamais rien demandé cependant. Je souffre de vous entendre rappeler -- d'une facon bien délicate je le reconnais -- qu'après la date fatidique de votre départ, il n'y a aura rien à attendre. Je le sais, c'est déjà accepté. Pour en arriver à cette résignation, j'avais du^ me répeter que, Francais, vous m'eussiez gardée. Mais vous avez dit non, clairement! Et dès que je vous ai quité, mes doutes m'ont reprise, mes angoisses aussi, malgré le pur enchantenment des dernières minutes.
Mardi matin
Au moment où je vais confier cette lettre à mon frère, il me vient un remords d'avoir écrit hier soir tant de choses qui sont bien capables de vous désoler.
Ces passages, je les désavoue ce matin, Nam, car je ne veux que vous plaire.
De la dernière lettre de Sylvie, j'ai cité la moitié à peine; mais même ainsi réduite, elle n'apparai^t pas moins adorable que celle de 'samedi', surtout dans son repentir.
Je dois ajouter cependant wue ce repentir n'avait pas du^ être inspire par le seul désir de me plaire.Elle savait bien que je ne m'amusais pas à 'tromper ses espérances pour voir'. Quand je lui demandai de m' adresser une lettre par jour, ajoutant avec le sourire -- : 'pour voir', j'employais l' expression dans un esprit tour à fait différent. Non, il n'y a avait rien en moi de la curiosité de l'enfant qui démonte ses jouets pour regarder dans le ventre, ou de cette folie qui le pousse ả casser les plus beaux pour ne devoir ses joies à personne. J'étais trop conscient pour cela et, selon le propre témoignage de Sylvie, je lui avais parlé cet après-midi-la avec délicatesse et ménagenment.
Reste cette idée, pour le moins déplaisante, que "même Francais, je ne l'aurais pas gardée". Mais Sylvie résumait et présentait notre dialogue à sa facon, forcement. J'avais du^ dire à peu près:" Je ne saurais donner ma parole à une femme, même si nous étions du même pays, elle et moi." Ce qui ne différait guère des propos que je lui tenais sans cesse. Sentant qu'elle me devenait chaque jour plus chère malgré tout et sachant qu'elle n'en ignorait rien, l'entendant parfois se déclarer heureuse, je croyais nécessaire de me répeter avec insis-tance, et même avec exagération. Elle devait d'ailleurs comprendre et m' approuver pleinement un peu plus tard, aund je me serais davantage expliqué: "J'avais des devoirs, je ne m'appartenais pas, je n'étais pas de ceux qu'un bonheur à deux suffit ả combler."
Même si je l'avais jugée parfaite et à jamais sure, même si j'avais envisagé, des cette époque, de réserver l'avenir, d' attendre d' avoir passé l'agrégation pour rentrer seul d'abord et examiner si l'évolution générale, l' attitude des Francais de là-bas et la situation que j'aurias acquise personnellement rendait possible notre union, je ne me serais pas cru le droit de m'en ouvrir à elle des lors crois me serais pas cru le droit de m'en ouvrir à elle dès lors, car la moindre lueur d' espoir lui serait apparue comme une promesse su^re, à laquelle elle n'aurait pas manque de s'accrocher, et définitivement elle searit attachée. Il fallait donc à continuer à la décourager: dans la doute, je ne pouvais me conduire autrement.
Vint la rentrée que je redoutais tant.
Elle se fit et en deux tapes: à l'École d'abord, puis trois jours après, à la Sorbonne.
Ce matin-là, en arrivant à l'École, où j'étais déja retourne récemment pour prendre des livres, je recus un choc dès le hall,
Il ya des lettres dans les casiers, qui portent maintenant des étiquettes avec des noms.
De plus des affiches nouds convoquent chez le directeur, chez les d'agrégés-répétiteurs.
Ce n'était rein encore. Mes camarades de turne me réservaient d'autres émotions, sans s'en douter.
A l'économat, on m'indique ma nouvelle turne, en me remettant une clef et une lampe. Je grimpe au 'palais', j' ouvre: Cadot et Baudry sont plongés l'un dans les tragédies de Voltaire, l'autre dans le Phèdre de Platon, en prenant des note. Et cela me fait peur, me fait mal: déja, déja, st si fort !
C'est une impression que je n'ai pas ressentie depuis longtemps, que je croyais n'avoir plu à ressentir cette année, ayant déjà commencé à travailler. Est-ce parce que je n'ai pas tout poussée l'acharnement à ce point. Ou bien la vue des autres en plein travail vous frappe-
t-elle davantage?
En tout cas, me voilà emprisonné dans les horaires. Finis les rendez-vous au hasards! Comme elle est loin, Sylvie! Je ne pourai plus la regarder avec les mêmes yeux : toujours se dressera le spectre de l'agrégation, l'image de ces bu^cheurs .
J'avais choisi de préparer l'agrégation de grammaire, supposant que je risquais peu d'échouer dans cette section, où je n'avais pas à l'affronter une concurrence aussi redoutable qu' ailleurs. Malheureusement, la matière elle même n'était rien de moins que rébarbative, pour moi surtout. Je n'avais jamais réussi à y pénétrer vraiment, loin de l'absorber comme je l'aurais du^, et à la licence j'avais obtenu de justesse le certificat de grammaire et philologie, après avoir passé aisément les trois autres. Mes applications et mes angoisses n'étaient donc que trop fondées,et l'hiver qui s'annoncait allait se révéler comme le plus affreux de ma vie.
Sylvie n'y pensait point. Elle n'avaitt d'ailleurs jamais pu admettre ma faiblesse, persuadée que j'exagérais.
Ce n'était malheureusement pas le seul sujet où l'entente parfaite ne régnait pas entre nous.
Depuis la visite de ses vingt et un ans, près de deux semaines s'étaient écoulées, nous se nous étions pas revus : après avoir pris froid, elle cut d' autres empe^chements. Finalement elle promit une rencontre pour le lendemain de cette rentrée à L'École, sans fixer d'heure. Je ne recu rien jusqu'au jour dit, òu le premier courrier m'apporta un mot annoncant un coup de téléphone, un télégramme ou un peu pneu dans la matinée! En vain je guettai un signe jusqu'à 2 heures. Alors seulement elle me téléphona de venir à la Porte d'Orléans.
Dès qu'elle arrive:
-- Je dois rentrer par le train de 4 heures un quart.
(C'est-à-dire: elle me quitte dans une demi-heure !)
Je réplique:
-- Si tu t'en vas, ce sera fini.
Seulement je plaisante ensuite.
Comme elle affirme qu'elle ne peut rester, je la remène vers le métro, marchant en silence, lui répondant à peine. Enfin, je prends un billet pour elle.
Elle ne se décide pas à s'éloigner.
--Pourquoi se tirailler? dis-je. Je sais que je regretterai, mais tant pis!
Elle est alors obligée de me tendre la main.
Elle n'a pas essayé de me retenir, soit parce que qu'elle l'avait dait une fois déjà, soit parce qu'aujourd'hui une longue queue attend devant le guichet, tout près de nous, et la présence de ces témoins a pu l'arrêter avant un geste humiliant.
En rentrant, je me sens beaucoup moins triste que je ne devrais l'être : rien qui secoue le coeur, le pince, comme l' autre fois. Est-ce parce que je ne crois pas à une vraie rupture? L'aimerais-je moins à cause de son attitude de ces derniers temps? Elle aurait pu s'ex-
pliquer, se montrer un peu délicate. Ainsi, aujourd'hui, il êut suffi d'un certain ton, d'un regard, d'une parole en arrivant ...
Rupture ou seulement menace de rupture?
Je n'eus pas le loisir d'y réfléchir longtenpms: deux jours après,ce fut la rentrée générale de l'Univeristé, la vraie rentrée.
Cours à la Sorbonne, cours à l"École, foule d'étudiants, attente vaine des professeurs absents, pris par des examens -- attente pendant laquelle je me rongeais, non seulement angoise à l'idée du travail, mais surtout oppressé par cette atmosphère de rivalité et de calculs -- la journée fut pour moi épouvantable.
Je ne laissai pas de réagit cependant : témoin la longue lettre que j'écrivis a Sylvie d'une traite vers 10 heures du soir, et que le lendemain, en me réveillant, sur le souvenir de ces heures-là et avant de relire, je voulus supprimer.
Lettre inattendue sous plus d'un report.
Lundi soir.
Sylvie, je viens de pleurer Les résolutions que je prends me déchirent; mais elle sont nécessaires si j'ose viser à l'agrégation cette année. Vous ne savez pas combien je suis en retard. Et le dernier sacrifice, consenti à l'instant même, celui qui me secoue, me fait sangloter comme une pauvre femme, le voici : je ne'impose de chasser immédiatement votre image chaque fois qu'elle surgira dans mon esprit. Je l'ai décidé parce que c'est une marque su^re de volonté, parce que c'est un grand pas, celui par lequel il faut commencer.
Depuis samedi, je n'ai cessé de penser à vous. J'ai voulu d'abord vous écrire :" Sylvie, nous nous séparons, mais je n'oublie rien de ce que nous savons vécu ensemble. " Je ne l'ai pas écrit. J'ai ensuite songé à dire " Voulez- vous que nous nous recontrions tel jour ? Pardonez-moi si vous souffrez." Je ne l''ai pas fait non plus. Aujourd'hui, depuis ce matin, plus d'une fois plonge dans la détresse, je n'ai point cédé au désir facile de tendre les bars vers vous.
Si j'écris maintenant, c'est parce que ma décision est sans appel: non seulement ne plus vous voir, mais me défendre même de penser à vous. Je m'autorise donc à pleurer et à vous écrire, avant cette dernière rigueur contre moi-même.
Mais ce n'est pas tout ce qui m'est venu à l'esprit. Dès que j'eus accepté de me sacrifier, une question s'est immédiatement posée : dois-je vous sacrifier, vous aussi ? Sylvie, je ne ruse ni avec vous, ni avec noi-même. S'il arrive que nous vous revoyions, je serai comble; mais je m'interdis de le chercher. Soyez donc simple et franche. Si vous souffrez, venez. Vous n'avez pas à vous imposer des duretés inutiles; pour moi seul, elles sont nécessaires. Mais si vous sentez au contraire que vous oublierez facilement, que vous vous consolerez, ne répondez point.
Je m'apercois aussi que j'exigeais parfois trop de vous, précisément parce ce que je vous aimais ; dans cet état, je ne réfléchissais pas suffisamment, je manquais de générosité. Il faudra me montrer moins égoiste, en tenant compte de vos obligations. Il m'arrivera d'e^tre très contrarié, mais je me plierai. Soyez plus douce si possible, Sylvie, plus personelle dans la douceur, comment diaris-je? ayez de l'initiative dans votre tendresse, de l'assu-
rance dans votre amour.
Ah! je parle comme si devais vous retrouver. Mais si, nous nous retrouverons!
Sylvie, si vous pouvez, je vous verrai jeudi.
La réponse vint vite, et telle qu'on aurait pu la prévoir: dès le lendemain mercredi, avec un rendez-vous pour le jour même, sans attendre 'jeudi'
C'est la première fois qu'elle m'embrasse prsque en pleine rue.
En recevant ma lettre, ell a été bouleversée : Elle ne sait plus; elle casse tout, se brise les ongles en fermant l'armoire."
Elle viendra demain soir; elle l'affirme au point de m'etonner, puisquelle n'en pas encore parle à sa mère.
Celle -ci ne pouvait pas croire que nous ne nous voyions plus. Elle a même dit hier :" Toujours fâchés? Pas possible ! Pourquoi ne lui écris- tu pas? Tu as été peut- être trop vive.." Sylvie l'a prise à partie:" C'est ta faute : tu m'empêchais de sortir!". Et elle s'est montrée particulièrement violente et sure.
Quand j'annonce que j'ai un voeu à exprimer, elle m'arre^te, craignant que ce ne soit une mauvaise nouvelle qui gâte notre rencontre. Mais le la prie seulement d'accepter que de1soprmais, pour cette annÉe de malheur où les minutes me sont mesurées, je ne la ramène plus à la gare.
Le lendemain, si je fais le compte d'après mon journal, nous eu^mes tout juste deux heures et demie dans l'appartement de Jeanne. Elles me parurent cependant 'une nuit'.
Une des nuits les plus pleines, malgré sa brièveté. Une des plus voluptueuses avec presque rien cependant, avec rien. Est-ce parce qu'elle fait preuve 'd'initiative', comme je le lui ai suggéré dans ma lettre ? À certains moments, notre communion dans la tendresse et dans le plaisir est telle que je demande à la fois:" Que faut-il de plus pour que ce soit parfait?" et: " Comment pourrons-nous nous quitter?".
(...)
nam kim
(p. 60- 74 NAM ET SYLVIE)
appendice
source : Thephong s poems blog
***
--------------------------------------------------------------
In memorial
PHẠM DUY KHIÊM
blog Virgil Gheorghiu
Saigon, Sept. 14, 2020
----------------------------------------------------------------
0 Nhận xét:
Đăng nhận xét
Đăng ký Đăng Nhận xét [Atom]
<< Trang chủ